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Avoir des relations affectives de qualité est extrêmement précieux, encore plus quand on souffre de douleurs chroniques. Si vous avez la chance d’avoir dans votre entourage des personnes de confiance, compréhensives et fiables, sur lesquelles vous pouvez compter, prenez du temps pour cultiver ces relations. Après le corps et l’esprit, n’oublions pas notre cœur !
Nous parlons en détail de comment « communiquer avec les autres à propos de notre douleur » dans le dossier entourage. De plus, le dossier Témoignages de nos proches et de soignants regroupe les témoignages des personnes qui nous entourent.
Ici nous abordons tout ce qui peut nous soutenir, nous aider à mettre de belles couleurs dans nos vies mais aussi celles des autres. Les rubriques suivantes parlent des relations avec les proches (famille, amis) mais aussi dans un cadre plus large (emploi, bénévolat, loisirs). Nous évoquons aussi le danger du repli sur soi ainsi que nos pistes pour bien communiquer, écouter mais aussi s’affirmer. Enfin, nous parlons des relations toxiques, quels impacts elles peuvent avoir et comment se protéger.
Nous avons tous fondamentalement besoin de contacts et d’échanges agréables avec les autres. Cette vidéo « Les autres » de Tout le monde s’en fout résume bien l’importance de ces relations, mais aussi les pièges de vouloir toujours plaire.
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Cependant ce repli sur soi est néfaste à long terme. Il risque de baisser notre estime de nous même et notre moral. L’isolement est un facteur aggravant de la douleur chronique.
Beaucoup de témoignages montrent l’importance de continuer à s’ouvrir et sortir. Ainsi avoir des activités extérieures où l’on se sent utile ou où l’on passe juste un moment agréable avec d’autres, a un effet bénéfique sur le moral, l’estime de soi – et le ressenti de la douleur. Le plus important est de trouver ce qui peut vous convenir et est adapté à votre situation. Là aussi nous espérons que vous pourrez partager vos expériences ici.
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Nos rapports avec nos proches, famille ou amis, ont un réel impact sur notre moral, notre motivation et notre bien-être. Dans la partie Entourage nous parlons de comment ils perçoivent notre douleur chronique et comment leur en parler et leur demander du soutien.
Ici vous pouvez venir exprimer votre gratitude pour ceux qui vous aident à tenir bon et à progresser, qui mettent de belles couleurs dans vos vies. L’idée est de dire que ça vaut la peine ne pas s’isoler. Il est important d’entretenir des relations authentiques et de qualité avec ceux qui restent pour nous soutenir et nous comprennent.
Cependant vous pouvez aussi venir nous parler de ceux qui vous ont abandonné. Ou pire vous ont fait du mal et ont fait empirer les choses en vous rabaissant ou vous culpabilisant. Nous parlons un peu plus loin des relations toxiques, de ceux qui profitent de notre vulnérabilité…
Enfin, nous aimerions beaucoup savoir si la douleur chronique a fait le tri dans vos amis. Comment arrivez vous à continuer à garder le contact, partager de bons moments avec ceux qui restent ? Les réseaux sociaux et internet en général vous aident ils à vous sentir moins seuls ?
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Nous parlons plus en détail de ce besoin de se sentir utile et d’avoir des projets dans le dossier Prendre Soin de ses rêves – Sens.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row el_id= »communiquer » css= ».vc_custom_1594944891605{padding-top: 50px !important;} »][vc_column]
Ecouter
Le plus important : savoir écouter pour de bon. Il s’agit de porter toute son attention sur ce que l’autre veut dire et essayer de comprendre ce qu’il ressent. Et surtout ne pas le juger ni vouloir le convaincre en cherchant déjà notre réponse. Ce Tedx Talk « The power of listening » de William Ury l’explique bien.
S’affirmer avec authenticité dans ses relations
Bien communiquer, c’est aussi savoir s’affirmer avec bienveillance et tact. Pour les » people pleaser », c’est une étape importante pour aller mieux et retrouver leur authenticité. Ainsi il est essentiel de savoir exprimer ses besoins et ses limites avec clarté, sans reproche ni agressivité. Enfin savoir dire NON, c’est aussi accepter que les autres puissent nous dire Non sans que cela remette en question notre relation. Pour approfondir, nous vous suggérons « Comment savoir dire Non » de D. Laroche.
L‘authenticité est vitale, nous en parlons dans le dossier sur les fonctionnements inconscients. (G Mate, « Sois fidèle à toi même » Shakespeare). Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est juste prendre soin de nous, de notre santé, de notre vie. Bien sûr il faut ensuite faire preuve de pragmatisme et essayer d’être constructif pour trouver des compromis.
Humilité et Bienveillance
Ce sont des valeurs que nous souhaitons mettre en avant sur ce site. C’est aussi faire preuve de tolérance et savoir se remettre en question. Admettre ses tords et demander pardon est une preuve de courage, pas une faiblesse. Cette étude montre même que ça nous fait du bien (lien…)
De plus nous pensons qu’il ne faut pas juger trop vite, on ne connait pas toutes les épreuves qu’une personne a traversées. Les personnes qui souffrent de douleurs chroniques ont souvent du faire preuve de beaucoup de résilience dans leur vie.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row el_id= »self » css= ».vc_custom_1594944930200{padding-top: 50px !important;} »][vc_column]
De plus la manière dont on se parle à soi même n’est pas sans conséquence. Ainsi les « je suis nul », « je n’y arrive pas » et autres critiques internes ont un impact négatif sur notre estime de nous. C’est un mauvais message envoyé à notre système nerveux. Alors essayez de faire preuve de bienveillance envers vous-même.
Félicitez vous pour tous vos succès, même minimes. N’ayez pas peur d’être fiers de vous et de tout ce que vous arrivez à traverser. Répétez vous encore et encore que vous êtes quelqu’un de bien qui mérite d’être heureux et aimé tel qu’il est. Vous méritez d’avoir une vie belle, riche et pleine de couleurs. Ne laissez personne vous dire le contraire, surtout pas votre petite voix interne.
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Nous abordons enfin ici le sujet des relations qui nous font du mal. Elles peuvent nous empêcher d’avancer et d’aller mieux, voire même aggraver les choses. Alors comment se protéger de ces personnes nocives qui nous enfoncent au lieu de nous protéger ?
Pervers narcissiques, manipulateurs, personnes violentes, parents maltraitants, harcèlement moral… Les traumatismes qu’ils ont induits, pendant notre enfance ou plus tard, peuvent parfois être à l’origine de certains de nos troubles et de nos fragilités physiques ou psychologiques (liens PTSD).
Cependant une relation peut devenir nocive sans être dans ces extrêmes. Il peut être vital de prendre conscience de malaises plus discrets qui peuvent nous faire du mal à long terme. C’est ainsi le cas quand on encaisse sans rien dire des manques de respect et de bienveillance quotidiens (conjoint indifférent et égoïste, « amis » ou collègues qui nous rabaissent, hypocrisie, mensonges, moqueries…).
Nous accumulons alors beaucoup de souffrances inconscientes en nous. Malheureusement celles-ci risquent de ressortir par des biais détournés, comme notre corps ou notre moral qui se dérèglent.
Les personnes souffrant de douleurs chroniques peuvent parfois être plus vulnérables et hypersensibles à tous ces comportements. Notre estime de nous-mêmes peut en prendre un coup. Bien sûr on ne peut pas vivre dans le « monde des Bisounours », et on a besoin de contacts, alors voici quelques pistes pour limiter les dégats :[/vc_column_text][ultimate_exp_section title= »Gérer les « blaireaux« » background_color= »rgba(147,213,216,0.62) » cnt_bg_color= »#f7f7f7″][vc_column_text]
Des pistes pour gérer nos relations avec les « blaireaux »
- Tout d’abord écouter ses émotions et ses sensations physiques pour amener le problème à notre conscience. Y mettre des mots.
- Ensuite prendre du recul et se libérer en en parlant à un tiers compréhensif. Ou encore en écrivant (bienfaits prouvés du Journal Speaking), ou en imaginant parler à la personne toxique, voire l’insulter. On fait ainsi ressortir ses souffrances cachées. Une autre rapproche est d’enlever de son pouvoir à la personne toxique, de la considérer juste comme un « blaireau » qui nous pousse à changer (« marre des blaireaux », D. Laroche)
- Il est important d’apprendre / s’entraîner à exprimer sa colère sans se laisser emporter. En effet la colère est une émotion de survie et de protection tout à fait justifiée quand quelqu’un nous blesse. Mais il vaut mieux la canaliser pour en faire quelque chose d’utile pour nous.
- Ainsi l’énergie de notre colère peut nous aider à apprendre à nous affirmer, fixer des limites, dire « stop » quand quelqu’un nous manque de respect ou simplement nous en demande toujours trop.
- Enfin bien sûr s’éloigner des personnes toxiques, les éviter le plus possible. En tout cas limiter et cadrer au maximum les échanges.
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